« ERIC et KARINE » Bourg-la-Reine 92
Après 33 ans passés à travailler dans le plus grand groupe d’électronique Français je dois me référer au titre de mon post de ce soir. Encore 8 semaines à souffrir dans cet univers de la médiocrité humaine ou le salarié est un matricule. Le travail en 2016 est devenu un lieu de souffrance, plus aucune possibilité de s’épanouir et les services travail en permanence en sous effectifs. Le travail qui devrait être organisé en équipe est individualisé, celui qui ne prend pas de recul se fait laminer sous ce rouleau compresseur du dogme du capitalisme libéral qui profite aux 500 familles dirigeantes. Ces tordus profitent de la connerie du bas peuple de France dont le business plan est d’habiter une maison en papier mâché made in Bouygues en grande banlieue dont ils seront hypothétiquement propriétaire dans 25 ans entre temps le chômage, le divorce ou la maladie les auront rattrapées et les obligera à regagner la case départ du jeu de l’oie de la vie. Beaucoup d’entre eux ne supporteront pas que leurs grosses se cassent voyant la déchéance du clampin et ces pauvres cons finiront SDF ou poivreaux. La vie m’a appris àêtre dur et de ne jamais faire preuve d’empathie envers ces gens soumis à la société de consommation, l’image de l’esclave moderne. J’aime mieux les rebelles et les syndicalistes. Ces cons admirent des décérébrés qui tapent dans des ballons et à la machine à café on entend parler que du PSG, BENZEMA et de toutes ces futilités qui font leurs médiocres vies. Aujourd’hui à 57 ans je sais qu’après la mort il n’y a aucune survivance des âmes, pour moi je mets dans le même panier les catholiques et les djihadistes musulmans quand un con de cardinal se permet de dire « le viol est moins grave que l’avortement ». Je leur conseillerais à ces infâmes curetons d’éradiquer les pédophiles de leurs rangs. Les religions et les croyances de toutes sortes sont l’opium du peuple et les empêchent de prendre leurs destins en mains. Pour moi rien est gravé dans le marbre il suffit que le peuple décide de prendre une autre orientation. Karine vient de me rejoindre, aujourd’hui elle est tout de noir vêtue, qu’elle classe, dans la main elle tient un pot de baume du tigre. Instinctivement je retire mon pull, elle applique divinement et fait pénétrer le produit à l’endroit où j’avais violement mal en décembre. Mon plus grand malheur fut toujours de ne pouvoir résister aux caresses. Je vais être occupéà plein d’autres choses donc je vous quitte en vous souhaitant une douce et agréable nuit.
Joyce Jonathan - Le bonheur