![Eric 2015 151]()
Samedi 12 Décembre 2015
ERIC NEW – YORK
Bonjour à vous mes lecteurs et lectrices francophones. Etant actuellement aux Etats Unis d’Amérique du Nord pour passer ma qualification de type BEECHCRAFT KING AIR et 1900D. J’en profite pour vous montrer la carte du monde telle que Donald TRUMP candidat Républicain à la maison blanche voit notre belle planète « la terre ». Je croyais que nous les Français nous possédions les plus incapables des présidents entre le nabot à talonnette et le têtard à globule. Etant à l’étranger et n’ayant donné aucune procuration je ne voterais pas pour les régionales et voilà ce que voter aujourd’hui m’inspire : les moutons vont à l’abattoir. Ils ne disent rien, et ils n’espèrent rien. Mais du moins ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera et pour le bourgeois qui les mangera. Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons, l’électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Le Français a fait des Révolutions pour conquérir ce droit. Le dernier président de la république digne de respect en France était Le Général De Gaulle véritable homme d’action et de projets, depuis que des cancrelats comme le premier George Pompidou à la solde du grand capital qui le 3 janvier 1973 crée l’endettement de la France. Appeléégalement loi Rothschild Dans la loi portant sur la réforme des statuts de la banque de France, nous trouvons en particulier cet article 25 très court, qui bloque toute possibilité d’avance au trésor : « Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France. » Ce qui signifie que l’article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la Banque de France de faire crédit à l’État, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts ; alors qu’avant cette loi, quand l’État empruntait de l’argent, il le faisait auprès de la banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêt. Autrement dit : auparavant, l’État français avait le droit de battre monnaie, et avec cette nouvelle loi, il perd ce droit qui est du même coup légué aux banques privées, qui en profitent pour s’enrichir aux dépends de l’État en lui prêtant avec intérêt l’argent dont il a besoin. Cette décision correspond à une privatisation de l’argent et ramène la nation au même rang que n’importe lequel de ses citoyens. L’accroissement sans fond de la dette publique trouve son origine précisément là. Voici en effet un graphique représentant l’évolution de la dette, avec et sans intérêt. La courbe rouge représente bien sûr la dette constatée, calculée avec les intérêts. La dette à fin 1979 était de 239 milliards d’euros, déjà injustifiables ; la dette à fin 2008 s’établit à 1327 milliards d’euros ! Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d’euros et nous avons payé 1306 milliards d’euros d’intérêts. 1327 - 1306 = 21 Milliards d’Euros ! : Si nous avions pu créer notre monnaie — faire exactement ce qu’ont le droit de faire les banques privées —, la dette publique serait quasiment inexistante aujourd’hui. Georges Pompidou a été le directeur général de la banque Rothschild ; il en était le valet, il n’est par conséquent pas étonnant qu’il ait fait voter cette loi du 3 janvier 1973 qui interdit à l’État français de battre monnaie et qui a endetté la France d’une façon structurelle et incommensurable auprès de banques privées comme la banque Rothschild. C’est pourquoi, cette loi, je propose de l’appeler désormais la loi Rothschild. Le deuxième VGE Valéry Giscard d’Estaing. Le 29 avril 1976 le duo Giscard/Chirac transformait radicalement la nature de l’immigration. Ce qui était jusqu’alors une immigration de travail devint, d’un trait de plume, une immigration de peuplement. Il n’y eut même pas, pour ce qui devait changer le visage de la société française, de débats à l’Assemblée nationale, ni de loi votée par les députés. Non, un simple décret, le funeste n°76-383, y suffit. Les princes qui nous gouvernaient, du haut de leur grandeur et de leur omniscience, décidèrent de ce qui était bon pour le pays – et accessoirement pour le mondialisme qui se profilait à l’horizon - sans en référer aux représentants du peuple, valetaille tout juste bonne à enregistrer les décisions venues d’en haut. Valéry Giscard d’Estaing était président de la République depuis 1974, Jacques Chirac était son premier ministre. Tout entier occupés à promouvoir la fameuse société libérale avancée chère à VGE, qui se rêvait en JFK, et à jeter bas les fondements d’une vieille France qu’il convenait de faire accéder aux délices de la modernité et du métissage réunis, ils imposèrent durant ces années des mesures lourdes de menaces potentielles pour l’avenir. Tout avait commencé dès 1974 avec l’abaissement de l’âge de la majorité de 21 à 18 ans. Puis, en 1975, Simone Veil, alors ministre de la santé, avait réussi à faire passer sa loi sur l’avortement. Avec le décret sur le regroupement familial qui suivit, tout le dispositif était fin prêt pour une progressive substitution de population et pour l’installation à terme d’une nouvelle catégorie de « Français » supposés plus malléables. Oui, la France archaïque de papa allait faire place à un avenir radieux, peuplé d’innombrables marmots étrangers - essentiellement musulmans, mais on n’en parlait pas trop - qui une fois majeurs, à 18 ans, et par la magie de nouvelles règles relatives à la nationalité, formeraient un jour les bataillons des futurs électeurs. Les bataillons des futurs travailleurs non qualifiés, également, et surtout, des futurs chômeurs. Mais en 1976, se préoccupait-on de ces peccadilles ? Le 13 Novembre 2015 la France c’est prise en pleine figure ces décisions suicidaires. Le troisième François Mitterrand pendant quatorze ans n’a fait qu’accroitre le désastre. Son successeur Jacques Chirac pendant douze année a continué, aucune mesures positives me viennent à la mémoire, sa plus mauvaise la suppression du service national, 1 million d'euros le coût annuel du traitement réservéà Jacques Chirac pour les contribuables français. Retraite, château, pension annuelle, personnel (19 fonctionnaires sont affectés à son service), Jacques Chirac conserve encore de nombreux privilèges depuis qu'il a quitté l'Élysée. Il cumule en effet les avantages réservés à ses anciens mandats (président de la République, maire de Paris, conseilléà la Cour des comptes et député de Corrèze) et sa pension actuelle en tant que membre de droit du Conseil constitutionnel. Nul doute que son compère VGE ne coûte autant au contribuable. Normal, vu les services éminents qu’ils ont rendus au pays. Rien ne saurait être trop beau pour eux. Ce qui caractérise la classe politique française de ces dernières décennies, outre la veulerie et la soumission aux lobbys, est l’irresponsabilité pleine et entière dont elle continue à bénéficier malgré ses trahisons. Et que chaque clan à l’intérieur du système, qu’il soit clan « de droite » ou clan « de gauche » se garde bien de remettre en question. Car tous sans exception en profitent autant qu’ils le peuvent. Voilà en tout état de cause une boîte de Pandore qui ne risque pas de s’ouvrir, du moins de leur fait. Celle-là est bien cadenassée. Il est temps de mettre en question cette irresponsabilité quasi totale dont jouissent les "responsables" politiques. Quels que soient leurs errements, leurs fautes lourdes, les sommes folles gaspillées, personne jamais ne leur demande le moindre compte. Il faut réfléchir aux moyens de mettre en œuvre de véritables contre-pouvoirs et faire des propositions dans ce sens. Nul doute que pareille initiative serait bien accueillie par nos concitoyens. En attendant ils viennent de déclencher la troisième guerre mondiale, qui a débuté le 7 janvier 2015 au journal satirique Charlie Hebdo, qui vient de se reproduire le vendredi 13 novembre 2015 au Bataclan et dans les rues de la capitale. En 1990 j’habitais Choisy le Roi, ville qui reflétait le communautarisme arabo-musulman, en voyant tous ces jeunes laissés pour compte sans réelle intégration, je disais à ma compagne quand ils auront vingt ans ils nous tireront dessus à la Kalachnikov, je devais être visionnaire. N’oublions jamais, s’agissant du regroupement familial, que Giscard et Chirac sont au premier chef responsables et coupables de cette décision prise par eux seuls sans en référer aux représentants du peuple, décision aux conséquences calamiteuses pour le pays. Nous ne le rappellerons jamais assez.